visite dans l'océan des imondices

Comment peut on intepreter la chance ?
Bon bonne, la boulette s'était contenté de roulé au sol, le type était sympa, c'était les bons points.
Mauvaise...erf l'homme n'était vraiment pas décidé à le laisser partir et commençait déjà on ranger la pièce de travail.
Le nez à auteur de mon bureau je le regardais un peu ahuris, avec un regard totalement idiot, fouillant de ma mémoire où j'avais déjà vu cet homme...Comme soudain illuminé je me redressait d'un bond, faisant tomber mon chapeau et rejoigant mon collègue je m'approchais de lui en lui donnant une tape dans le sol avec entousiasme:

"Hey ! C'est le vice amiral Shinobu ! C'est cool de te voir ici !"

A vrai dire je n'étais pas si content que sa, mais le mot bouteille avait réussit à suciter mon envie de ranger ce bureau. Les virés entre collègue ne me déplaisait pas et puis même si cet homme paraissait coincé à première vu, sa serait toujours mieux d'aller boir un coup plutôt que de semer des boulettes sur le sol.
Me parler de ma soeur...qu'elle sujet de conversation ! Les rares fois où on m'en avait parler j'étais resté si indifférent que plus personne ne m'avait parlé d'elle. Mais même si je ne le paraissait pas, toute information sur elle m'interessait.
Tout en méditant je vidais un cendriller de tous les petits papier qui y trainait et déposait les bouteilles vide devant la porte.
Je déambulais dans le bureau les mains dans les poches en remettant à sa place ce qui me tombait sous la main. Dans mes allez venue, je marchais sur la queue d'une bestiole qui s'amusait avec des papiers.
Je ne m'en occupait pas, regardant mon bureau se métamorphosé au fur et à mesure que l'on rangeait. Je ne put m'empêcher de m'exclamer :

"Ah c'est du parquet qui recouvre le sol ! J'en avait presque oublié la couleur"

Ce type d'expression pouvait paraitre ironique, mais dite par moi, une phrase pouvait être sérieuse ou pas sans que personne ne le sache.
Evacuant les derniers formulaires à jeter dans la corbeille à papier dermais pleine je me tournais vers le vice amiral :

"Bon on peut y aller, en plus à cette heure là on a plus de chance de croiser Tashigi..."

Ajustant ma veste je commençait à quitter le bureau après y avoir jeté un dernier coup d'oeil. S'était presque trop rangé pour moi, finalement je trouvais sa plus convivial avant...enfin si sa peut faire plaisir à Mosieur les supérieur, laissons faire ! Je savais pertinament que dans deux semaines, la pièce reprendrait son aspect initiale.

*SBAF*

....
....
....

Je poussais la porte du bar et cherchais du regard le vice amiral qui m'avait invité à boire. En tournant la tête dans sa direction il pouvait apercevoir une boss sur ma tête, laissée par un coup. Je m'assis en face de lui, passant le bras par dessus le dossier, me balançant légèrement. Pour expliquer ma bosse je pronoçais simplement en prenant la bouteille de rhum:

"Smokette a pas apprécié que je dise bonjour à sa liutenante"

Je débouchais la bouteille et servit généreusement mon compagnon et je fis de même pour mon verre que je portais tout de suite à mes lèvres

"A la tienne Shinaku !"

Je vidais de suite le verre en regardant par la large fenêtre du bar. Toujours en me balançant un peu j'avais le regard dans le vague comme pour rassembler mes pensés. D'un coup sec je reposais le verre sur la table, la tête un peu baissée, j'avais soudainement l'attitude du mec qui va dire quelque chose de très sérieux. C'était une sorte de chose pour capter l'attention de mon auditoire.
Je relevais la tête avec un large sourire et dit d'un air bêta:

"Bon alors ! Quoi de beau sur ma soeur ? Elle est mignone je sais...qui a fait le premier pas toi ou elle ?"

C'était trop demandé d'avoir une conversation sérieuse avec moi. Mes pensées étaient toujours floue, ainsi personne pouvait prévoir à l'avance ce que j'allais dire. J'étais comme sa, on pouvait me califier d'exentrique oui, mais je ne changerais pour rien au monde. Tout en conservant un air joyeux je me reservit une rasade de rhum en attente d'une réponse. On était venue parlé de ma soeur alors allons y de bon coeur !

Eh c’est bien moi le plus beau ! Bon un peu de sérieux tout de même…surtout que Shinjatu commençait à parler de chose qui n’avait sans doute pas été facile pour lui alors autant écouter:

- Moi même je n'ai pas vécu avec mes parents biologiques et je ne sais rien d'eux. Enfin, c'est comme sa.

Effectivement on ne choisie pas son destin, mais c’est peut être mieux de ne pas les connaitre si c’est ensuite pour se déchirer le cœur quand ils partent. Je pensais relativement à mon père pour cela, mon idole…Enfin j’étais gamin, maintenant je suis devenue un super beau gosse colonel que demander de plus…de la discipline, ouai on verra sa plus tard.

D’ailleurs le vice amiral recommençait à me parler d’une rencontre éventuel avec ma sœur. C’est pas que je n’en avait pas envie mais la réaction de Rubis me faisais peur. Je n’avais pas envie qu’elle sois indifférente, j’aurais voulut combler le fossé entre nous deux mais je n’étais pas sur qu’elle se prête au jeux.
Mais qui ne tente rien n’a rien…


Sa pouvait être intéressant mais je n’étais pas trop d’attaque à cause de cette appréhension, je le laissais payer la note et partir et moi je continuais à réfléchir en me balançant sur ma chaise.

La revoir ouai, mais après ? Je n’aimais pas trop me lancer dans une situation à l’issue douteuse mais le roi que je suis n’allais pas avoir peur d’une chipie d’à peine 18 ans ! Sur ce point j’avais entièrement raison mais il m’en fallait plus que sa pour m’obliger à bouger d’ici. On m’avait souvent reprocher ma paresse et ces derniers temps on m’avait menacer de m’envoyer avec Hina pour je ne sais qu’elle mission. Si ce n’est qu’elle je….HINA ?! Pas de temps à perdre ! Je me redressais sur ma chaise puis me mettait debout en hurlant:

-BRAND BAS DE COMBAT !

Retrouver ma sœur était cent, que dis-je ! Deux cent fois mieux que de se retrouver avec Hina avec qui j’avais disons…quelque léger différent suite à une histoire…Enfin, traversant la courre en vitesse, je gagnais ma chambre pour y prendre mon arme et regagner plus tranquillement le quai 17 les mains dans les poches
.
Si j’avais bien une faiblesse c’étais le colonel Hina, mais chuut…Je grimpais que le bateau avec aucun bagage hormis mon arme dans mon dos. Je donnais l’ordre comme si j’étais maitre à bord, de lever l’ancre et partis rejoindre mon pote en lui tapant un grand coup dans le dos:

-Hey ! Shinitu ! Je suis prêt on pars quand tu veux mon vieux !

Grand sourire de tête à claque, j’étais gonflé de dire qu’on partais quand il voulait puisque j’avais déjà donné l’ordre de partir. Le grand Kenji-kun a encore frappé !

*cronch cronch…*

On s’ennuie ici, j’aurais du suivre ce vice-amiral avec mon propre vaisseau et mes hommes. Au moins l’ambiance aurait été moins pesante, lourdingue ? Mais non avec Kenji l’ambiance n’est jamais lourdingue, elle est à la fait ! Ouai champagne ! D’ailleurs il y a pas grand-chose à boire ici…mais qu’est-ce que ? J’étais assis contre le bastingage depuis un moment par terre et je me relevais:

-Dis donc ma petite carpette ne me déranges pas-tu ne vois pas que je suis occupé.

En effet se faire doré au soleil est une très grande activité, manger des chips en est une encore plus épuisante vous pouvez pas savoir l’enfer que c’est d’avoir du sel collé aux mains. D’ailleurs c’est surement l’odeur du paquet qui avait attiré l’espèce de belette blanche qui ne quittait jamais le propriétaire de ce navire.

Je me saisie du paquet que la bestiole s’était chargé de terminer ne me laissant que des miettes ! Je fis une boulette du paquet vide et le jetais dans la poubelle à quelque mètre de là.

-Wou dans le mile ! Vous pouvez m’acclamer matelot !

Une des marines qui s’occupait du cordage me regarda en souriant. Je profitais de l’occasion pour détendre l’atmosphère à ma façon.
Au bout de quelque minutes Shijitsu arriva et trouva une dizaine de matelots riant autour de moi, occupé à me donner en spectacle.

-Oui je dois dire que j’ai fais fort ! Hahahaha, tiens une autre vous voulez savoir comment j’ai gardé mes cheveux long ? Car pour des moussaillons comme vous les cheveux doivent être courts mais moi avec du génie et de l’astuce j’ai réussi à les garder ! Oui je crois cette prouesse aurait put me valoir une médaille. Tiens Shinar…Shinjitsu tu veux l’entendre ?

J’affichais une grand sourire aux lèvres, mes cheveux rouge tombait en masse sur mes épaules. Je mâchonnais tranquillement un morceau de cigarette tout en débitant mes histoires de jeunesse. Sa c’est de l’ambiance !

Je débarquais sur l’île les mains dans les poches comme à mon habitude. Revoir ces rives de sable pourpre ne laissait aucune expression sur mon visage. Je passais indifférent un demi sourire aux lèvres comme toujours.
Au loin au approchait le bois vermillon, qui portait merveilleusement son nom vu que les feuilles des arbres se tintaient toujours de rouge dès leur apparition sans jamais devenir verte. Comme un automne éternel, qui prenait fin quand la neige venait recouvrir la végétation.

Les habitants de l’île se composait d’habitant de divers village ainsi que des peuples nomades, qui parcouraient l’île dans tout l’espace important qu’elle offrait.
Rubis et moi étions issue de ce peuple, mais nous avions vite été rejeté à cause de notre condition. Même si mon expression n’affichait rien d’autre qu’un sourire d’indifférence, mon cœur se serrait quand je revoyais tout cela.

J’avais souvent fuis cette île et tous ces souvenirs, mais là je ne pouvais y échapper. Je laissais donc ces pensées bien enfuis, et je m’enfonçais dans le bois avec le vice amiral. Mosahi Opale, reposait là où le bois prenait fin. Dès la sortie de la forêt, le seul chemin praticable conduisait à une falaise, sur laquelle on avait une vue imprenable sur la teinte chaude du soleil couchant. Cette bute qui donnait sur le précipice, était parsemé de pierre, dont une plus grande que les autres, s’élevait recouverte de rosiers blanc en fleur. C’est là ou ma mère reposait, au pied de ces tiges d’épine, dont les fleurs étaient de la même couleur que ces cheveux.

Je ne me sentais pas très à l’aise, mais rien ne trahissait ce sentiment. En s’approchant de la tombe, on voyais une croix en bois contre la pierre où était gravé l’épitaphe. Une photo vieillies par le temps était accroché à la sculpture de bois, Opale souriante, épanouis, libre…Pourquoi je ne me souvenait pas qu’elle m’est adressé une seul fois un sourire comme celui-ci ? Il faut dire qu’elle était encore jeune sur cette photo mais est-je contribué à ternir son bonheur ?


En arrivant vers le rosier, je remarquais tout de suite que sur la terre au pieds de la croix, on avait déposé des lys blanc ici depuis peu de temps. Rubis ?

+Nostalgie, pourtant il ne faut pas repenser en arrière quand on veut avancer, Marco sama me l'a bien fait comprendre la dernière fois que je me suis trouvée là, et je lui donne entièrement raison mais pourtant, revoir ces arbres, cette falaise descendant en pente raide jusqu'à l'écume des vagues, venant se briser contre. Ma mère était enterrer dans ce roc inébramlable signe de sa force je le sais, ce lieux était son endroit preférée, elle aurait entièrement approuvé de reposer ici à jamais+

Rubis était assise les pieds dans le vide, perchée sur un arbre toujours paré de ce feuillage carmin. Au loin, la jeune fille pouvait apercevoir un point noir danser sur l'eau, qui portait les couleurs de barbe blanche. Elle était de l'autre coté de la forêt qui l'empêchait de voir le port et donc la bateau de la marine qu'elle ignorait présente. En cas d'attaque elle aurait fait ce qu'elle a toujours fait, s'envoler...
Cette action la mettait définitivement en communion avec le vent, elle se sentait ainsi plus proche de s amère, comme si le souffle qui avait porté ces ailes avait été l'esprit de sa génitrice.
Les oreilles de la jeune fille lui signalèrent la présence d'étranger, on entendant nettement de bruit de botte sur le tapis de feuille morte.
La harpie se pencha et eu juste le temps de voir une cape de la marine sortir du bois sans qu'elle put distinguer à qui elle appartenait. De toute évidence, ils se rendaient sur la tome d'Opale, car à pars la vue depuis la falaise, il n'y avait rien à voir.
Rubis descendit lestement de son perchoir pour resté caché à l'abris des arbres et put ainsi distinguer les deux hommes qui s'étaient introduit ici.
Sans aucun doute le premier était Shinjitsu, et la jeune fille aurait put exprimer un sourire mais quand ces yeux se portèrent sur la personne qui l'accompagnait un sentiment de haine la submergea:

+Lui...NON, impossible ! Mais qu'est-ce que ce ramassis de mer** fabrique ici !!!!+

Le sang de la jeune fille lui montait à la tête et elle songea aux reflexions qu'elle avait émise du haut de son arbre tout à l'heure.
Elle aurait approuvée de reposer ici éternellement....
Mais lui, LUI il ne l'aurait jamais su, lui il ne connaissait même pas Opale, lui il n'a eu aucun sccrupule à nous abandonner, lui il a juste ramener le corps de notre mère sur cette île, aux mains des habitants qui voulait le jeter à la mer ! Et lui il n'a pas creuser la tombe de ces mains et est repartie sans un mot et donc LUI n'a rien à faire ici !!
La jeune fille entendit à peine le salut de Shinjitsu qui l'avait entendue venir sans même se retourner, et au lieux de rendre la politesse, la harpie se rua sur son frère à qui elle attribua une magistral gifle qui claqua en laissant rouge la joue qu'elle avait frappée.

"Dégage !"

Rugit Rubis entre ces dents en jetant un regard furibond, elle était raremant comme sa...

Torpillé ! Sa c’est le cas de le dire, je venais de me faire torpiller par un missile rouge qui venait de surgir à tout allure. Shinjitsu savait qu’il allait venir et moi également, mais je n’avais pas de radar pour prévoir la gifle.

Elle fut ferme et cinglante, j’en avais pris des nombreuses mais celle-là réussissait à ébranler mon cœur car j’aurais aimée qu’elle vienne de quelqu’un d’autre que de ma petite sœur. Pourtant il était évident qu’elle aurait cette réaction, elle venait de me faire comprendre que je devais débarrasser le plancher, Rubis me lançais des éclairs au travers de son regard écarlate.

Je relevais la tête suite à la gifle en conservant mon sourire si énigmatique, comme si il ne s’était rien passé. Je reculais d’un pas en m’adressant avec une voix enjôleuse à ma sœur:

-Allons, allons, en voilà des manières, calme toi fillette on peut discuter. C’est la discussion qui distingue de l’animal pour ne faire venir dans le monde civilisé.

La situation pouvait sembler naturel à m’entendre, mais elle ne l’était pas du tout. Je savais que je risquais une nouvelle gifle avec le caractère impulsif de Rubis. Mais je me sentais déjà rassuré face à sa réaction qui pour moi était bien meilleur que ce à quoi je m’attendais.

En effet comme je l’avais dit, pour moi l’indifférence est la pire chose que l’on peut attendre d’un individu avec qui vous êtes lié. J’ai trop connue cette réaction de la part de ma mère auparavant.

Or, là, Rubis semblait se souvenir de moi, pas comme la dernière fois que nous nous étions vu. Là elle s’énervait après moi, me giflait, j’avais une chance de combler partiellement ce fossé qui nous séparait.

Pourquoi elle le détestait ? Mais tout dans l’être de cet homme était détestable ! Mais si Kenji avait le don de mettre Rubis en colère, c’était surtout pour son caractère…très spécial. Il avait beau jouer les jolies cœur et passé pour un idiot simplet et gentil, la harpie savait très bien que derrière ce masque, il y avait un être fourbe qui manipulais les gans comme des pantins. La jeune fille détestait ces sourires mystérieux, elle ne savait jamais ce qu’il pensais derrière ce regard enjôleur, ces lèvres malicieuse. Il était insondable et ne prenait jamais rien au sérieux si bien qu’on s’interrogeais toujours sur la relation qu’il allait avoir.
Kenji était extrêmement mystérieux et déroutait les gens, et sa l’amusait de se donner une image comme celle-ci. Rubis pouvait encore argumenter longtemps, elle ne pourrait jamais percer le voile mystérieux qui entourait son frère et le rendait inaccessible. La voix de ce jeune homme lui semblait lointaine quand il dit avec dédain:

-Allons, allons, en voilà des manières, calme toi fillette on peut discuter. C’est la discussion qui distingue l’homme de l’animal pour ne faire venir dans le monde civilisé.


Mais quel beau parleur celui là, la jeune fille lui répondait avec mépris:

-Comment peux tu parler de monde civilisé alors que toi-même tu n’es qu’un être fourbe à peine évolué !?

Mais à quoi bon gaspiller de la salive ? Rubis savait que sa ne servait à rien, que quoi qu’elle dise il garderait se sourire satisfait. Il savait qu’en fait toute la colère qu’elle éprouvait contre lui était surtout du à une sensation de malaise et non de rancune. En fait, si par le passé ils avaient vraiment eu des relation de frère et de sœur, jamais elle n’aurait été mal à l’aise en face de lui. Mais il avait toujours été à une extrémité d’un fossé large et dont la profondeur était infinie.
Rubis se souvenait à peine de la nuit quand il l’avait fait sortir de sa cellule. Elle n’avait été qu’une poupée de chiffon sans volonté et ceux pendant les premiers temps durant lequel il s’était occupé d’elle. Pourtant la harpie n’en gardait aucun souvenir, c’est comme si il n’avait été qu’une ombre indifférente, inexistante…

-Hum…370 million de Berry, c’est une jolie somme…

Rubis regarda son frère avec des yeux douteux. Pourquoi si soudainement il évoquait sa prime ! Et bien quoi ? Il avait l’intention de la capturer pour la rafler ? Qu’il essaye, la harpie serait le traiter comme il se doit. Mais connaissant Kenji, sa devait être une nouvelle manière d’aborder un sujet tordue. Il rompit enfin le silence:

-Je me demande si sa l’intéresserait lui de prendre ta tête et de rafler cette somme.


De qui il parlait encore ? Malgré les efforts de la jeune fille pour ne pas s’intéresser à la conversation, elle e pouvait s’empêcher d’écouter. Le marine avait tout de l’attitude de quelqu’un qui a quelque chose d’important à dire mais fait durer le suspens.

-Tu te demandes sans doute de qui je parle…et bien pour tout te dire ces dernier temps on a aperçue un homme avec d’étrange tatouage sur tout le corps errer dans les environs, il avait une arme très étrange avec lui…

Rubis tressaillit et entendant ces paroles…des tatouages…non sa ne pouvait être…
Et pourtant Kenji lui apporta la confirmation à ces craintes:

-Une arme, où plutôt une lame, qui ressemblais à une scie…

Sa ne pouvait plus faire aucun doute ! Et pourtant dans son esprit la jeune fille espérait que ce n’était pas vrai ! Pas lui ! Non pas lui ! Après toute ces années ! Non ! C’était comme un mauvais rêve qui revient, mais la photo qu’il avait glissé dans ces mains étaient troublante, la jeune fille n’y accorda pas plus d’une seconde avant de la lâcher par terre et de fixer le sol. Mille question se posaient dans son esprit. Shinjitsu revint mais elle ne le remarqua qu’à peine tant elle était troublée…Keni ajouta comme de si de rien n’était :

-Bon choix les lys blancs sœurette


Mais elle ne l’écoutait pas, pas plus qu’elle écouta ce que disait Shinjitsu. Leur voix étaient comme un cris lointain, un échos à peine audible. Comment considérer cette nouvelle information…Quelque chose tracassait Rubis et l’empêchait de réfléchir…la dernière phrase qu’avait prononcée Kenji…Bon choix les lys blancs sœurette.

+Les lys blanc…ce n’était pas mon choix…+

Comme sortant d’une torpeur, Rubis redressa sa tête en fixant tour à tour Kenji et la tombe où reposait les deux bouquets de fleur, celui de Shinjitsu et…les lys blanc. La harpie dit avec une voix pleine de détresse:

-Quoi c’est pas toi qui les a apportées ces fleurs !

Mais…mais…ce que Kenji avait dit se confirmait. L’homme sur la photo avait refait surface et il était même venue ici ! Donc…

La jeune fille s’adressa de nouveau à Kenji:

-Tu le savais hein ! Tu le sais que les lys blanc sont les fleurs préféré de Maman ! Tu es le seul à le savoir…toi…moi…et…

Lui, elle et…

-Et notre père…

Boum ! J’ai visé juste ! Mes paroles avaient ébranlée ma sœur, j’étais fier de moi. J’étais satisfait de mon œuvre comme un artiste, mais il n’y a rien de vraiment artistique à tourmenter sa pauvre petite sœur. Tourmenter ? Est-ce vraiment le mot juste ? Au contraire, je lui ai fait par d’un information fortement intéressante elle ne pouvait que m’en être redevable. Maintenant qu’elle savait que notre père avait été vu dans les environs de South Blue, tel que je la connaissais, elle ferait tout pour le retrouver et le harceler de question. Peut être que cela mettrait à jour des zones d’ombres de mon passé.

Oui, je savais que si j’allais voir mon père, il refuserait de m’adresser la parole. A Rubis aussi d’ailleurs, mais elle possède la hargne que je n’ai pas. Je n’aurais qu’à entendre qu’elle le trouve et je profiterais des fruits des efforts de ma sœur sans rien faire. Oui c’est sa la vrai nature de Kenji Mosahi !
Shinjitsu de son coté, cherchait à s’intégrer dans la conversation. Le pauvre me faisait pitié, quel tristesse de ne pas être sur le devant de la scène, allons faisons lui plaisir:

-Ce que tu as fait Shinaku d’honore, mais mon pauvre petit père tu n’y es pas du tout !

Non il n’y est pas du tout. Opale a put écrire ce qu’elle voulait, elle n’a été qu’un pion sur un échiquier. Oui, je le sais, il y a quelque chose qui s’est passé bien avant sa mort et je ne saurais dire qu’elle est la nature de cette chose. Il m’arrive souvent de rêver à un grand incendie, je vois que personne qui courre dans le brasier, pour tenter d’en sortir. Je discerne, le traits du visage d’Opale, de mon père qui me tient la main…mais il y a quelqu’un d’autre…

Mon passé est couvert d’ombre, c’est comme si j’avais commencé à emmagasiner des souvenirs, à l’âge de mes six ans quand Rubis est née. Le reste est floue, je me souviens parfaitement de mon père, mais pour ce qui est du reste ce n’est que le noir total. Je compte sur ma petite sœur pour éclaircir cette sombre affaire. Cela nous concerne tous les deux !
Je sortais de ma réflexion en m’adressant au vice amiral:

-Bien Shiniku ! Mon travail est terminé on s’en va !

Tout en souriant, je mettais une bonne tape dans le dos à mon supérieur, en regardant du coin de l’œil mais petite sœur. En commençant à descendre la côte je lui lançais:

-Hey, petite sœur ! Sa ma fait plaisir de te voir, fais bon usage des info que je t’es refilé !

Oui Rubis, fais en bon usage, sa va nous profiter tu verras, j’en est le sentiment.

Rubis avait finit par quitter ces pensées seulement quand Kenji décida qu’il était temps pour lui de partir. Quoi ! Il allait s’en aller comme sa ! En la laissant avec ces informations et sans plus d’explication ! Mais la jeune fille soupira intérieurement, elle aurait peu protester, elle savait qu’elle n’en tirerait rien de plus, ce type était un manipulateur ! Et pour tout au revoir il se contenta de dire sans même se retourner:

-Hey, petite sœur ! Sa ma fait plaisir de te voir, fais bon usage des info que je t’es refilé !


La jeune fille eu d’abord envie de lui hurler dessus ! Mais quelque chose la retint muette. Son regard se portait sur la silhouette de son frère qui venait de réaliser quelque chose de très inhabituelle. Rubis ne se souvenait pas l’avoir entendu une seule fois l’appeler «　Petite sœur　» mais là ce mot faisait un bien fou car il venait du cœur sa se sentait. Pas non plus une raison pour lui pardonner ! Mais pour le moment, la jeune fille ne pouvait pas en vouloir à Kenji.
Ce qui l’intriguait c’était l’information dont il parlait, celle comme quoi son père serait présent. Pourquoi lui avait il donné ? Sa devait surement être quelque chose de très important sinon il aurait garder l’info pour lui. La harpie savait que sa devait les concerner tout le deux et qu’apparemment elle était plus apte à trouver Kenko Mosahi que son imbécile de frangin.
La pirate soupira et adressa un regard à la photo souriante de sa mère sur la tombe.

-Pff Maman qu’est-ce que tu nous a caché ?

Rubis considéra la photo cinq minute et pris son envole depuis la falaise pour rejoindre le bateau. La photo que lui avait donné Kenji était serrée dans sa main, et dessus se trouvait l’homme qu’elle allait chercher !

+j’arrive papa !+

[fin du rp !]